Maxime Voinson
Mixeur sonore
Les perspectives sonores sont très importantes pour moi. J’ai une relation assez particulière avec les sons.

Maxime croit en la règle des 10 000 heures. « Pour devenir virtuose, il faut y mettre le temps. Et pour investir 10 000 heures, il faut être passionné. Et mon métier me passionne. »
Il parle d’ailleurs de son comme s’il était peintre. « Au départ, j’ai peur de la toile blanche. Mais dès que je commence à mettre mes couleurs, mes lignes, à trouver les bonnes perspectives, les choses se placent et ça finit par donner une fresque. »
Une fresque sonore qui viendra soutenir et sublimer l’oeuvre du réalisateur. « J’ai la chance de travailler avec des gens qui ont du talent à revendre. Et travailler avec ces gens-là me pousse à me dépasser. On est tous comme ça, ici. »